Ce week en, j'ai découvert sur une chaine francaise, un documentaire qui traite des éléphantaux orphelins. Des gens les accueillent et les soignent avant de les réintégré dans des lieux différents d'Afrique. Ce sont des 'orphelinat', situé en afrique. J'ai été absolument abasourdie par le grand sens de la communication et de groupe qu'ont ces animaux. Je crois avoir trouvé une nouvelle vocation dans ma vie,
j'espère un jour pouvoir partir là-bas et partager des choses avec ces animaux et leurs soigneurs...
J'ai toujours adoré les éléphants, mais je n'en n'ai jamis vu qu'au zoo ou au cirque, comme tout le monde. Cependant je n'aime pas aller dans les zoo, bien souvent les animaux ont des regards vide et perdus. Même s'il sont nés en captavité. Je ne dénigre pas le travail colossal des soigneurs dans les zoo mais je considère cette institution comme un des deniers vestiges du monde occidental colonisateur. Au début du siècle, ont ne se posait pas de question sur le déracinement et l'adaptation de certaines espèces. D'accord on a le droit de savoir à quoi ressemble tel ou tel animal,
mais je n'arrive pas, en imaginant la vie d'un tigre, d'un singe ou d'un éléphant enfermé dans une cage, à me dire qu'ils ont heureux.
Au contraire, protéger et aider de petits orphelins à vivre en groupe et les guider vers une vie sauvage me touche infinimentplus, car cela va de paire avec le respect de ses êtres vivants.
Ils sont partout, dans les bus, le métro mais surtout les trains. Avec leur petit carnet et leur stylo, le regard perdus dans les kilomètres qui défilent, ils attendent. Ils attendent la première image, la première idée, le premier mot. Les idées sont comme des bulles invisibles et insaisissables. C'est l'imagination poussée à son maximum, on écrit des choses si personnelles autour de tant d'inconnus.
J'aime observer ces écrivains nomades, discrètement. Il ne faut pas qu'ils me voient, je dois être une inconnue parmi tant d'autres. J'aime voire leur sourire lorsqu'il ont enfin attrappé leur bulle...C'est alors que j'ouvre mon cahier et que mon esprit se perd à son tour dans les méandres bouillonnant de la création.
"La fiancée du pirate", Nelly Kaplan, 1969.
Marie est une fille de ferme, née enfant naturelle, sans droits et sans nom. Corvéable à merci par la fermière qui l'emploie et par les hommes du village, elle décide de se venger de la vie après la mort de sa mère.
Désormais, elle fait payer aux hommes ses faveurs, créant ainsi un scandale dans le village bien-pensant où elle vit.
Adieu la vie monotone, menacée par l'épée de Damoclès de la religion et des moeurs strictes d'avant mai 68.
Car ce film est une ode à la jeunesse, aux couleurs, à la vie, à l'amour, à la liberté de la jeunesse.
Marie représente toute cette génération...
Un film à voir absolument, c'est un classique!
"Moi, j'm'en balance...."01h35/ arrivée dans cette nouvelle planète blog...
Plus journal de bord, carnet d'impressions, de ressentis que de réel support à des coups de gueule, ce blog à une vocation de liberté de dire etd e penser...